C'est l'Automne, et pourtant, quand tu te plantes devant moi,
Doucement tu t'effeuilles.
Le tissu encore léger, de ce début de saison, tombe à terre.
Les dentelles de tes dessous, glissent sur ta peau encore bronzée et rejoignent aussi le sol.
La paume de ta main englobe un sein. Un filet de salive coule légèrement sur sa pointe.
De tes doigts libres, tu joues autour de son aréole. Le lubrifiant improvisé glisse, luit
et commence à faire dresser et durcir le mamelon.
Un petit gémissement sort de tes lèvres entrouvertes.
Ton regard devient de plus en plus malicieux.
Puis ta main glisse sur ton ventre et se pose entre tes cuisses.
Son lent mouvement ne dissimule en rien le bien fait que tu te fais.
C'est l'Automne et pourtant, il fait toujours chaud.
Je craque, une nouvelle fois, à ton invitation.
Qui ne craquerait pas devant une telle invitation !
RépondreSupprimerPas moi...
C'est clair, Phil. Il faut bien faire continuer l'été par ces moments chauds.
SupprimerJ'aime ces mots, mon ami! C'est un beau poème.
RépondreSupprimerUn poème erotique. Ta description est voluptueuse.
Ensuite, je regarde les photos. Quelles belles photos.
Spécialement la troisième! Le mamelon avec le lubrifiant. Un orgasme!
Bonne journée mon ami.
Merci Giannis. Je crois aussi que tu sais ce qui est bon et beau pour la vie. Tu es un fin connaisseur de l'érotisme. Et moi aussi Gemssa.
SupprimerAujourd'hui et hier il a fait un temps de chien, mais avant c'était merveilleux avec plein d'offrandes généreuses!
RépondreSupprimerMarianne
Marianne, c'est vrai, et au moment où je te réponds il pleut des seaux et des seaux, mais, nous savons mettre de la chaleur dans notre vie, et l'approche de cette femme, vous savez aussi le faire dans votre presbytère.
SupprimerJe ferme les yeux, et j'imagine ce beau quatuor, et je craque, je craque...