Je ne connaissais pas cette version musicale
du succès de Pierre Bachelet.
(interprétée par ???)
Dans cette autre version, c'est celle de Pierre Bachelet.
Mais, ce n'est plus Sylvia Kristel.
De quoi s'y perdre, non ?
Allez, on remet les deux ensembles.
Et un petit reportage (clin d'œil à un ami)....
Oh, cher ami ! Ce que tu me rappelles maintenant ! Retour à ma jeunesse. A cette chère Emmanuelle, la Sylvia Kristel érotique, qui a fait vibrer nos moments et est devenue la cause de nos premiers orgasmes.
RépondreSupprimerUne musique merveilleuse. Herve Roy!
Merci beaucoup mon ami. Bonne soiree.
Oh, Giannis, tu es venu du tact au tact. J'ai rajouté un reportage pour toi, qui parle un peu ( à l'époque) de la limite entre érotisme et pornographie. Ta première question sur le cinéma érotique grec, sur ton blog.
RépondreSupprimerOui, Emmanuelle avec Sylvia Kristel et une chanson de Pierre Bachelet, fait remonter plein de beaux souvenirs d'enfance.
Sylvia Kristel était vraiment une très jolie fille. Comment ne pas craquer ?
RépondreSupprimerMerci pour cette séquence nostalgique d'une époque sans Internet mais pas dénuée d'érotisme.
Oui, Sylvia Kristel, on en était tous amoureux(ses). Une époque, où on regardait en cachette (enfin moi) "Emmanuelle". Les temps ont bien changé.
SupprimerIl faut voir aussi que le support, à part l'érotisme, était aussi très exotique, et nous faisait aussi voyager.
Une époque que je n'ai pas connue, mais qui a sûrement suscité beaucoup d'émois...
RépondreSupprimerOui, Marianne, c'était une époque où ces films (gentiment traités, pourrait-on dire aujourd'hui) nous embrasaient les sens à un âge des premiers émois. Il y avait aussi les dénudements de BB à la télé (avec carré blanc, mais, on savait tricher), etc....
SupprimerTout une époque, et comme je dis plus haut dans une réponse de commentaire, dans Emmanuelle, bien sûr l'érotisme, mais aussi de l'exotisme. On ne voyageait pas, non plus, comme maintenant. C'était l'évasion complète.
Aujourd'hui, c'est très différent, avec internet, ....et les avions à tout va.
Bise, Marianne.