L'éducation sexuelle est censée être enseignée,
à l'école depuis 2003, avec ses pours et ses contres.
Peut-être pour palier à un manque d'explications ou
à un complément,
au sein de la famille.
Beaucoup de choses ont changer les lignes :
la contraception
l'IVG
le Sida
mais aussi,
les livres,
les Médias,
les vidéos,
le cinéma,
etc...
et maintenant Internet.
Mais qu'en est-il exactement ?
Suivant les époques ?
Suivant qu'on soit fille ou garçon ?
Avons nous eu la même égalité sur ce sujet ?
Un ami blogueur et une amie blogueuse m'ont incité,
à écrire cet article.
Ils ont en effet entamé ce débat,
appuyé de leurs propres témoignages,
dans un échange sur l'article précédent,
intitulé:
"Allez, petite récréation"
Avant de transférer leurs commentaires,
animés, passionnés, mais amicaux,
je voudrais, résumer ma propre expérience,
en quelques lignes.
Je pense que vu la différence sexuelle,
à savoir que le sexe masculin est externe,
et donc peut-être moins complexe (à première vue, que celui des filles),
après avoir jouer à celui qui pissait le plus loin,
une autre étape de l'adolescence arrive.
C'est bien entendu : l'érection.
Je ne sais si c'était ou c'est pareil dans tous les foyers,
je n'ai eu aucune discussion avec ma mère,
encore moins avec mon père.
Nous étions les uns et les autres,
à tort, il est vrai,
intimidés d'ouvrir ce questionnement.
Et tout simplement, ça ne se faisait pas à cette époque.
Alors, je me suis découvert tout seul, par des caresses,
et puis bien sûr par la masturbation.
Je pense -j'avais une sœur-
que le dialogue se faisait plus facilement
entre mère et fille.
Je les surprenais à en parler et elles se taisaient,
aussitôt mon arrivée.
Il faut dire, que j'avais cinq ans de moins que ma sœur.
J'ai eu aussi recours à des livres ou plutôt magasines,
chipés au grand frère ou même au parents.
C'était "Union", "Lui", etc...
(Mais pas de sex-shop, interdit aux moins de 18 ans - clin d'œil)
Et tout ça avant de sortir avec une fille.
(Rien que le premier baiser m'avait intimidé).
Mais le sujet m'intéressait et m'intéresse toujours....
Ci dessous les échanges de mes ami(e)s.
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Johanne15/4/21 21:47
RépondreSupprimerTu sais Filimages, je ne trouve pas cela incroyable qu'une jeune femme d'une vingtaine d'année ne sache pas, n'est pas découvert à quoi pouvait servir le clitoris.
Les hommes vous à la préadolescence ou adolescence votre corps se transforme et se réveille d'une certaine façon avec les effets des hormones sexuelles en plein ébullition, dont vous ne pouvez pas passer à côté. Et Gem la très bien expliqué avec son écrit "La douche tahitienne" jumelé à un de ses commentaires.
Mais pour la femme cela ne se passe pas de la même manière que pour vous, sans compter que l'organe sexuel n'est pas externe, ni dans le même "créneaux de sensation, ressentis, réactions ...".
Il ne s'agit pas de se toucher le clitoris, pour que l'on sache qu'en faisant comme ci et comme ça il se passera quelque chose. Comment veux-tu le savoir, si on ne t'en parle pas ... ou si tu n'en fais pas l'expérience lors d'une relation intime,sexuelle amoureuse sérieuse ?
Je me souviens au collège en 4ème d'une fille qui avait ses règles et qui n'avait rien pour se protéger (forcément). Du coup solidarité féminine, plusieurs de ses amies ont fait la tournée de toutes les filles de la même tranche d'âge à la récré pour demander si quelqu'un avait une protection pour elle.
Un tampon (et non une serviette) a été trouvé et du coup elle lui passé et celle a demandé comment il fallait faire. et quand on lui a expliqué, elle a dit que ce n'était pas possible qu'il n'y avait pas de trou. On a dû lui expliquer qu'il y avait un trou pour uriner et un autre trou bien plus gros pour mettre le tampon ..." Et ben elle n'y croyait pas ... Elle nous dévisageait une par une par une pour nous demander notre confirmation individuelle. Quelqu'un à fini par lui d'aller au toilette et de vérifier par elle-même. Et cette fille était loin d'être parmi les filles qui vivent socialement loin des autres filles, ni au fin fond de la campagne. Elle avait même un petit ami.
Les vibromasseurs, certaines filles le connaissaient (sans y avoir vraiment accès), par ce qu'elle avait une grande soeur et qu'elle avait découvert l'objet dans sa chambre ; mais c'était plutôt dans les milieux aisés il me semble. En tout cas entre filles ce n'était pas le genre de choses dont ont parlait ou partageait en discussion (de mon époque), à moins que tu ais une très bonne amie chez qui tu va dormir. Les filles étaient plus solitaires, intimes, à ce niveaux là concernant la sexualité, de ce que j'en ai vu et vécu.
Alors que les garçons à la même époque étaient en train de se comparer la taille et la grosseur de leur sexe.
Et concernant ces vibromasseurs justement (et sexe toys), comment voulais-tu savoir que cela existait si personne ne t'en parle. Cela ne fait ou ne faisait pas partie de l'éducation sexuelle.
Il n'y avait pas internet, comme aujourd'hui.
Alors oui, tu pouvais bien plus tard avec ton copain, amant ou compagnon aller dans un sexe shop, pour en choisir un avec toi et pour toi, parce que ce dernier connaissait cela, mais sinon pour une fille c'est très dure d'aller la première fois dans un sexe shop. Je te garantie qu'à l'époque tu ne passais inaperçue.
(fin de la première partie de mon commentaire, suite juste après, à cause de la limitation du nombre de carratère).
Johanne15/4/21 21:47
Supprimer(suite et fin)
Alors je trouve ça facile de dire, que cela est incroyable que certaines jeune filles ou même femmes, ne connaissent pas leur corps etc ....
En plus j'ai bien vu autour moi, que certaines filles, comme certains garçons, ne sont même sortie (embrasser) pour la première fois que très tard, et les relations sexuelles également ... Cela varie en fonction de chacun, et cela n'a rien de honteux ou de dévalorisant.
Aujourd'hui il y a internet et quand on voit tout ce qu'il se fait à présent sur le marcher en sexe toys et autres et ce pour chaque site internet, c'est complètement dingue le choix qu'il y a. Comment veux-tu la première fois, les premières fois, savoir quoi prendre, quoi choisir ? Dans un sexe shop tu as vendeur pour te conseiller, mais je le redis, faire le pas d'aller dans cette boutique où bien souvent on y voit tout en tas d'accessoires (ambiance) qui n'ont rien à voir avec notre univers, cela n'est pas très rassurant, ni n'y mets à l'aise d'en faire la démarche seule.
Filimages15/4/21 23:10
SupprimerBonsoir Johanne,
Le terme "incroyable" que j'ai utilisé est celui le plus fréquemment prononcé par les femmes auxquelles je raconte cette anecdote. Elles trouvent incroyable qu'une fille soit complètement passé à côté de son clitoris pendant autant d'années. J'ai souvent eu des discussions ouvertes et sincères avec des femmes (amies ou autres) qui me racontaient sans tabou leurs expériences. Sûrement parce que je fréquentais plus certains milieux propices à ces discussions. J'avais une amie lesbienne qui m'expliquait des trucs que je n'avais jamais imaginé (je te passe les détails, pourtant gratinés).
D'après les dires du plus grand monde, c'est surtout sous la douche que vous (les filles) découvrez les pouvoirs de votre clito. Ce qui est logique, finalement. C'est pourquoi elles trouvent incroyable de ne pas avoir ressenti une sensation particulière en frottant cette zone. Il faut croire que ça arrive quand même.
Je ne pense pas que ce soit une question de savoir. Avant l'ère Internet, personne n'expliquait jamais aux jeunes adolescentes comment il fallait faire pour se masturber. Pourtant, la grande majorité finissait par le savoir d'elles-mêmes. Une femme de plus de 50 ans m'a raconté qu'elle avait 9 ans quand elle s'est masturbée pour la première fois. Et ce n'est pas un cas isolé. Les jeunes filles pensent longtemps que c'est un pouvoir secret qu'elles sont seules à connaitre et à ressentir, avant de découvrir, plus tard, que leurs copines partagent le même "secret".
Après, c'est vrai qu'avoir un sexe interne, en grande partie caché, n'aide pas à le découvrir. Les sexologues le soulignent souvent. Une étude récente (entendue à la radio) a montré que si on montre une série de photos de vulves à des femmes, dont la leur, plus de la moitié de celles-ci ne reconnaissent pas leur propre sexe. La même expérience avec des hommes a montré que tous reconnaissaient leur pénis.
Jusque récemment, les manuels d'anatomie, utilisés pour les cours d'éducation sexuelle à l'école, ne représentaient jamais le clitoris. Forcément, cela renforçait l'idée du secret, du petit truc en plus que les autres n'ont pas. L'éducation à une grande part de responsabilité dans le renforcement de ce tabou.
C'est vrai que les hommes discutent plus librement de sexualité. C'est moins tabou. Le fossé se creuse encore.
Bien sûr qu'il n'est pas honteux ou dévalorisant pour une fille de ne pas savoir à quoi sert son clito. De ce que j'ai pu vivre, c'est plutôt un handicap psychologique, que certaines surmontent sans problème quand elles rencontrent un partenaire qui sait lui expliquer avec tact. Pour d'autres, c'est plus compliqué et elles se font parfois aider par un sexologue (j'ai aussi des anecdotes).
Une des 2 femmes que j'ai connues souffrait aussi de vaginite sans que je sache si c'est lié ou pas. Même après avoir réveillé (révélé !) son clitoris, je n'ai jamais réussi à introduire ne serait-ce que mon petit doigt dans son vagin. Ce n'est pas pour rien qu'il existe des spécialistes pour traiter ce problème.
(suite juste après)
Filimages15/4/21 23:10
Supprimer(suite)
C'est curieux que tu me parles spontanément de vibromasseurs. Je n'avais jamais évoqué les sextoys dans nos échanges. Pour moi, la masturbation n'implique pas forcément l'usage d'un sextoy, même si on peut comprendre que c'est très tentant (si j'étais une fille, j'essayerais à coup sûr !). Mais tu as raison, les sextoys sont une autre façon d'accéder à l'orgasme. Les femmes ont clairement plus de possibilités que les hommes pour se faire plaisir, que ce soit manuellement ou avec un nombre impressionnants de jouets sexuels. Même le catalogue de la Redoute en vend ! Il parait que le vibromasseur est l'un des plus gros succès commercial. Beaucoup de femmes en possèdent plusieurs (j'en connais !). Oui, vous avez de la chance. J'ai toujours dit que le sexe fort est le féminin (il y a d'autres raisons).
Je suis très peu allé dans un sexshop, mais j'ai une anecdote rigolote à ce sujet. Une fois, j'y ai accompagné mon amie lesbienne car elle voulait acheter un vibro pour sa copine (le sien était tombé en panne). On s'est retrouvé tous les deux devant un rayon immense avec des dizaines de modèles de toutes tailles et de toutes couleurs. Voyant notre embarras pour choisir, le vendeur nous a demandé si on voulait de l'aide. Mon amie lui a expliqué la situation et il l'a conseillée comme un vendeur de chez Darty qui expose des modèles de grille-pains. C'était surréaliste pour moi. Le vendeur a sorti quelques modèles de leur boîte, mis des piles, expliqué les avantages de chacun (nombre de modes de vibration, etc...). Mon amie a pu les prendre en main (pas les tester réellement, hein) et choisir l'heureux élu. Le vendeur a proposé un emballage cadeau et nous sommes sortis du magasin comme si on avait acheté un bouquin à la FNAC. Normal.
On pourrait en parler (écrire) pendant des heures, mais il est tard. Je te souhaite une bonne nuit, Johanne.
Johanne16/4/21 00:18
SupprimerBonsoir ou bonjour Filimages,
Il n'y a rien de curieux à ce que je parle spontanément de vibromasseurs, étant donnée que j'y ai abordé une sorte dévolution (exemples) de la découverte et ses complexités des connaissances dans ce domaine du corps à une certaine époque chez la femme ou les jeunes filles.
"C'est pourquoi elles trouvent incroyable de ne pas avoir ressenti une sensation particulière en frottant cette zone. Il faut croire que ça arrive quand même."
Toutes les femmes ne sont pas pareils, ne ressentent pas les chose de la même manière, ni de la même sensibilité, toutes également n'en n'ont pas forcément du temps pour prendre sa douche quand on est plusieurs dans le même foyer. Personne ne réagit également de la même manière en explorant son corps. Et toutes les femmes n'en passe pas également leur temps à explorer leur corps, c'est un fait, même si certaines en trouveront cela incroyable.
Mais de toutes les femmes avec qui j'ai discuté, toutes ont dit la même chose concernant les sexes shop et la gène d'y entrer et d'y rester, d'y demander la première fois.
Par ailleurs, c'est bien beau, d'être étonné ou de trouver qu'il n'y a pas besoin de sexe toys pour se masturber, mais toi-même tu en montré que les jeunes filles étaient en recherche d'accessoires pour la masturbation, comme quoi ...
Non seulement la vulve est interne, mais en plus les bras de la femmes sont rattachés au même corps que le sien, ce qui limite dans la flexibilité, ainsi que le confort.
"Bien sûr qu'il n'est pas honteux ou dévalorisant pour une fille de ne pas savoir à quoi sert son clito."
Clito ou autres dans mes propos.
Oui alors, Filimages, tu dis cela à présent, mais ce qui me gène c'est quand tu emplois des thermes comme "elles serait idiotes de ne pas .." ou "c'est incroyable ..." dans tes phrases structurée (Tes premiers commentaires), ou même "Il faut croire que ça arrive quand même" (dernier commentaire), je trouve cela dévalorisant et blessants pour ces femmes et même pour la femme en générale.
Je voudrais dire aussi que bien qu'il existe des spécialistes pour traiter de certains problèmes sexuels, encore faut-il le savoir. C'est comme les thérapie de couple, encore faut-il le savoir, encore faut-il que le couple en veuille faire la démarche ou en ose en faire la démarche.
(suite juste après)
Johanne16/4/21 00:19
SupprimerQuand je te lis Filimages, tout parait très simple et tout a fait naturel et normale dans les moeurs, dans la découverte de .. dans la connaissance qui n'ait pas une connaissance, bien que l'éducation à une grande part de responsabilité dans le renforcement de ce tabou ...,
et bien moi de mon côté je n'ai pas constaté la même chose que toi, et ce auprès d'un certains nombre de femmes. Mais il est vrai que ce n'était pas un milieu propices de femmes qui discutaient librement entre elles (ou qui avaient fait causettes entre elles plus jeunes).
De mon expérience également, étant jeune (fin adolescence), certaines filles des plus matures (avec un copain plus âgé) et dont je ne fréquentais pas (dont je n'étais absolument pas amies), venaient me voir chez moi comme ça, pour me demander si c'était normal ou pas normal ce que leur demandait leur copain, parce que moi-même j'étais en couple avec quelqu'un de plus âgée, alors elles se disaient qu'elles pourraient me demander comme si j'en savais beaucoup plus qu'elles, alors que tout ce que je pouvais leur dire, c'était qu'effectivement cela se faisait, mais qu'elle n'étaient pas obligé de le faire si elle n'en éprouvait pas l'envie, pas de désire, que ces choses là ne se forcent pas.
Alors non, je ne pense pas pour ma part, que ce dont tu parles Filimages, était la majorité des femmes.
Tu as également des parents qui sont plus ouverts et d'autres non, et cela joue également sur beaucoup de choses. Le milieu, l'éducation et les possibilités de sorties, je pense, en jouent également, et ce même concernant la découverte du corps.
Bonne nuit, bonne journée, Filimages.
A ta question "Qui sont ces femmes pour se permettre de [...] dire une telle opinion", on pourrait répondre que la liberté d'exprimer ses opinions est encore possible dans notre pays. Je rappelle que c'était une discussion en privé, entre elles et moi, que je relate. Ce n'était pas un tribunal avec des femmes qui reprochent à d'autres de ne pas être comme elles. Donc je te rassure, personne n'a été blessé.
SupprimerCeci dit, si l'on s'abstient de discuter et de partager ses opinions de peur d'offusquer unetelle ou untel, il n'y a plus de communication possible. Quoi que l'on dise, même de façon anodine, on peut toujours offenser quelqu'un qui l'interprète autrement.
C'est d'ailleurs arrivé cette semaine avec cette histoire d'eau :
https://www.leparisien.fr/societe/evian-et-le-ramadan-cinq-minutes-pour-comprendre-un-emballement-15-04-2021-5GDIGPVQFFCORAJUQLBQF3MJ2A.php
C'est hallucinant comment une simple phrase anodine et absolument pas agressive peut déclencher une telle vague de réactions disproportionnées.
J'ai l'impression de vivre la même situation quand tu pointes 2 ou 3 phrases extraites de mes commentaires. Ce sont juste des opinions destinées à alimenter une discussion, pas à attaquer, critiquer ou blesser qui que ce soit.
On lit et on entend tous les jours des gens avec lesquels on n'est pas toujours d'accord. Chacun est libre d'avoir ses idées et de ne pas partager celles des autres. Il ne faut pas se sentir blessé mais, au contraire, accepter cette diversité d'opinions et essayer de comprendre pourquoi d'autres pensent différemment.
Il n'y a pas de "valeur normalisée d'une femme", comme tu le dis. Chacune est différente. Je constatais juste que dans une relation amoureuse (et/ou sexuelle), celles qui n'avaient pas découvert leur clitoris étaient plus "handicapées" que celles qui se masturbaient et connaissaient bien leur corps. C'est mon expérience, mon opinion et il ne faut vraiment pas y voir une volonté de dénigrer qui que se soit. Cela n'a rien à voir avec un supposé manque de respect, bien évidemment.
Si certaines se sentent offusquées en me lisant (et honnêtement, très peu me liront ici), j'en suis désolé, mais je ne renoncerai pas à ma liberté d'expression pour quelques personnes qui interpréteraient mal mes propos. Sinon autant arrêter tout-de-suite de discuter, car il y aura toujours quelqu'un pour se plaindre, même si le discours est complètement édulcoré, policé et chaque mot pesé.
Il ne s'agit nullement d'un désaccord sur le fait pouvoir ou pas discuter et partager ses opinions, il s'agit de thermes et tournures de phrases comme "idiote" entre autres qui pour moi n'a nulle place dans un échange.
SupprimerSi tu ne fais pas la différence entre parler allègrement de quelqu'un que tu ne connais pas (vraiment finalement), tout en la comparant en négatif (et je souligne ce mot) à ce que tu estimes qu'elle devrait être ou devrait avoir fait en te basant sur ce des critères propres à d'autres,
et entre discuter plutôt des différences ou du vécu, des caractéristiques de chacun en respectant justement chacun sans enlever ou détériorer son estime,
alors je ne vois pas trop quel climat de confiance il pourrait y avoir dans le partage.
Tu semble dire que l'on peut tout dire et exprimer de la manières que l'on veut quitte à blesser en employant des termes comme "elles seraient idiotes de ne pas ...", mais que cela n'en serait nullement blessant mais juste une réaction disproportionnée. Cela ne me montre au contraire qu'une attitude, que peut importe le point de vue de l'autre, du moment que le sien importe.
Ton article n'a rien à voir de similaire avec notre désaccord.
J'aurais aimé plus parler du fond que de la forme.
SupprimerLa tournure de phrase "être bien bête (ou idiot) de ne pas faire ceci" n'est qu'une expression. J'aurais pu dire "il serait dommage de ne pas". En fait j'aurais même dû plutôt dire ça, si j'avais su que cette phrase allait être interprétée avec autant d'importance (qu'elle ne mérite pas) et finalement occulter l'essentiel. Je ne suis pas intéressé par un débat littéraire sur la sémantique. L'important est ailleurs. Il est rappelé dans le titre de l'article.
De toute façon, sur le véritable sujet de la discussion, on tourne en rond et il est temps de passer à autre chose. Mais pas à une analyse de texte, ou alors sans moi.
C'est également sans moi, puisque tu nies, détournes et fais fie de comprendre de quoi je parle. L'essentiel pour moi se trouve dans l'intention.
SupprimerC'est regrettable. Vous n'êtes pas fâchés au moins ?
SupprimerVos témoignages étaient fort intéressants.
Non, non. En tout cas, pas moi. On a juste clos la discussion car on a fait le tour de la question. Le débat a glissé sur autre chose qui ne m'intéresse pas, ou alors à petite dose. :)
SupprimerJe vois qu'Henri a pris le relai. Tu peux ajouter quelques pages à cet article car il est intarissable sur le sujet !
Ha Ha Ha! Vilain garçon que tu es Phil! Mais il est exact qu'en tant que branleur patenté et reconnu, je peux forcément en faire et en dire, en retranscrire des caisses!!! C'est un véritable art de vivre et d'être… La Veuve poignet en témoigne régulièrement à plaisir! Il m'a même été un jour demandé d'en parcheminer un document pour en attester de ma Semence de branleur… Voilà qui ne s'invente pas… Je sais bien que tu es un fin et délicat connaisseur en la matière… J'ai un souvenir d'une certaine "Arche" à propos d'un organe féminin connu… Ha! les secrets de l'orgasme et de la masturbation, une vie n'y suffit pas… Je me branlais déjà avant de vivre je pense, aussi, je formule le vœu de me branler après, c'est vraiment trop bon… Tu seras là…?
SupprimerLes pauvres Anges, quand on y pense!!!
La question de notre présence après la vie n'est pas encore tranchée. Y'a débat, là aussi, et tout le monde n'est pas d'accord. Débat stérile, à mon avis. Il suffit d'attendre et on sera fixé sur la réalité. Je ne suis pas pressé de la connaître.
SupprimerLe coup de la dédicace, on me l'a fait aussi. En fait, je crois qu'on est nombreux à avoir été sollicités. Elles aiment qu'on leur montre concrètement l'effet qu'on leur fait. Les mots se suffisent pas toujours. Ils n'ont pas la puissance des actes.
Bonne nuit.
C'est sûr que la puissance des mots ne suffisent pas, pour décrire les sensations, le ressentis de certains actes.
SupprimerPour le reste, je ne suis pas pressé non plus, et j'espère encore passé du bon temps, à jouer à l'un des passe-temps d'Henri, et de plusieurs êtres humains (femmes comme hommes).
Qui a dit qu'on devait se faire du mal sur cette pauvre terre. Moi, je suis pour tout ce qui fait du bien. Epicurien à fond !
Excusez-moi les mecs de vous déranger dans votre Showroom privé,
Supprimerje me permets de mettre un petit entracte :
https://www.youtube.com/watch?v=HHaKCQCVO_o
Pour plus de dénudement, vous pouvez aller sur son site.
Jimmy Sax vient d'ailleurs de monter sa ligne d'accessoires en ligne ... où dans une ambiance de coffret noire et or, nous pouvons également retrouver toute une gamme de coloris différents ... pour les amateurs et professionnels
https://www.youtube.com/watch?v=GufQ3cyJFDI
Avions-nous vraiment besoin d'une page de pub dans notre discussion ?
SupprimerFaut croire que oui, mais tout le monde n'est pas en capacité de le reconnaître.
SupprimerN'as-tu pas apprécié le son ... et l'image ?
Je n'ai surtout pas compris le lien avec le sujet de cet article, et l'intérêt de la publicité.
SupprimerHenri lui l'a très compris, il sait y mettre l'impacte tout en gardant la chaleur et la rondeur ...
SupprimerC'est un accessoire qui embellit le son.
* très bien compris.
SupprimerEt puis après tout, ces monsieurs ont bien évoqué leurs souvenirs de masturbations, jusqu'à la perspective du ciel des anges, ... enfin Henri en tout cas pour les anges,
SupprimerEt moi je ne pourrais y mettre un intermède musical avec un homme sexy en action .... Ce ne serait pas un peu du machisme ... ou de la ségrégation, ... du clivage ?
��
* mon émoticône (les deux points d'interrogation dans les losanges noirs) était la figure d'un petit bonhomme souriant avec deux petits coeurs en haut de la figure de chaque côté (sur les tempes) et un en bas à droite sur le menton en-dessous du sourire.
SupprimerPourtant à la prévisualisation, il apparaissait tout bien beau.
Ha ! C'est parce que tu trouves le musicien sexy que tu fais le lien avec l'adolescence et l'éducation sexuelle... Pourquoi pas, si effectivement ça te rappelle tes émois d'adolescente. J'avoue que je n'avais pas saisi.
SupprimerA part ça, contrairement à WordPress, les émoticônes ne fonctionnent pas sur Blogspot. Ou alors, c'est une option à activer dans les paramètres du blog. :)
Merci pour l'info technique de blogger.
SupprimerEn effet, quoi de plus beau que le corps masculin ... que l'âme humaine au naturel et partagée en réciprocité.
Je ne t'ai pas vu parler de tes émois de l'adolescence, alors je ne vois pas pourquoi tu viens à redire sur mes vidéos qui ont eu l'avantage d'avoir fait un intermède musical tout en images.
Je n'ai pas besoin de ton opinion, ni de ton approbation.
Johanne, je pensais trouver autre chose qu'un saxo et un beau mec, avec en annonce, des accessoires en coffret noir et or.
SupprimerTrois solutions:
-Soit tu as de l'humour, et ça, je n'en doute pas.
-Soit c'est une musique qui te transporte, lors de ton auto-satisfaction (si tu en pratiques).
-Soit, tu es hors sujet avec la masturbation. Ou alors, c'est une façon de nous dire que nos commentaires te gonflent, et que tu proposes cet intermède. Mais, je crois que tu as trop de respect, pour ça.
Il y a peut-être, d'autres raisons.
Mais, comme, je sais tu es une personne sincère, tu auras l'explication.
Bonne journée, Johanne.
Gem,
Supprimer- J'ai effectivement de l'humour. :-)
- J'ai une question pour toi : Qu'entendais-tu exactement par "j'espère encore passer du bon temps, à jouer à l'un des passe-temps d'Henri, et de plusieurs êtres humains (femmes comme hommes)" ?
- Je suis peut-être hors sujet avec la masturbation, mais pas avec la sensualité qui se dégage de l'être humain, et ceci commence avant même de se dévêtir.
Pour moi, la sensualité, ou la sensualité qui me plait, c'est quelque chose de vivant qui ne se trouve ni dans une image statique en figé, ni dans une pose de retranscription, ni dans des faux-semblant.
Par ailleurs le titre et le sujet de ton article (ici), n'est pas la masturbation, ni spécifiquement la découverte de la masturbation à l'adolescence.
Quand dans la vie de tous les jours tu trouves quelqu'un de sensuel, tu le trouves sensuel dans son cadre de vie, dans ce qu'il fait, dans sa façon d'être etc ...
- La conversation entre Filimages et Henri (de ce dont ils parlaient) était arrivée au statue quo.
Tu as finalement, Gem, posté derrière, ce que tu as posté.
J'ai voulu relancer le sujet, le vrai sujet, en insérant un entracte tout personnel (pourquoi aurais-je dû faire quelque chose qui ne me correspondait pas ?), une façon de dire "Et les mecs, c'est bien beau vos allusions privées qui ne sont pas privées finalement", mais là il serait temps de passer à autre chose avec plus de teneur, de dimension, pour Gem, et pour rétablir les choses."
Bonne journée, Gem.
Et bien pour la réponse à ta question, c'est simple pourtant, je ne suis pas le seul à jouer avec mon corps, et j'espère que ça durera encore longtemps.
SupprimerEnsuite, j'ai aussi une question pour toi, avec ce que tu dis ensuite.
Comme le sujet est sur la connaissance de son corps, etc...te trouves tu sensuelle quand tu t'occupes de lui ?
Gem, tu n'as pas répondu à ma question dont je demandais une réponse précise te concernant.
SupprimerHenri, il me semble, ne joue pas avec son corps, il vit les choses avec son corps (le matin à l'aube, et en partage avec des partenaires que ce soit à distance, ou en rencontre de visu).
Mais toi qu'en est-il ?
C'est toi qui a avancé ta phrase, ce n'est pas moi, n'inversons pas les rôles.
Ahhhh...la petite curieuse....Moi, je le fais, oui, devant ma partenaire et des fois c'est elle qui est aux commandes.
SupprimerC'est ça que tu voulais savoir ? Je suis en direct permanent. Toujours en contact physique avec ma compagne.
Bon, maintenant à toi, alors ? C'est moi qui te le demande.
C'était surtout le contexte que je demandais.
SupprimerC'est le terme "jouer" qui avait retenue mon attention.
Ta question était : "j'ai aussi une question pour toi, avec ce que tu dis ensuite.
Comme le sujet est sur la connaissance de son corps, etc...te trouves tu sensuelle quand tu t'occupes de lui ?"
Mon commentaire sur la sensualité qui se dégage de l'être humain, en lien avec la vidéo que j'avais mise était plutôt sur ce que j'y voyais qui ressortait sur cette vidéo avec un être humain masculin.
Mais bon je vais essayer de te répondre sur ta question.
C'est un peu bizarre la formulation "s'occuper de son corps" et y joindre "le sentiment d'être sensuelle."
Je dirais plutôt une notion de prendre soin de soi, d'être bien dans ses baskets, dans sa vie, dans sa tête, dans son corps.
Se sentir sensuelle, cela dépend, de mon moral, cela dépend également du poids que je fais par exemple. Ce n'est pas quelque chose auquel je pense, mais oui cela m'arrive quand par exemple je sors pour x raisons pragmatiques et que je suis habillée de façon à cela que cela me plaise, que je me sente à l'aise, bien dedans, jolie ou belle, que j'ai mis par exemple (ce qui est rare parce que je ne supporte que très peu temps cela) un soutien-gorge dont la dentelle ressort légèrement, ou pas, si je fait un mouvement un peu trop prononcé pour prendre quelque chose et qui pourrait laisser paraître (sans que cela soit voulu de laisser paraître), mais autant que je me sente bien de porter quelque chose qui me plait.
Mais se sentir sensuelle, si je puis dire, c'est surtout dans le regard de l'autre que je peux le ressentir, dans le partage également, la réciprocité suivant les personnes.
C'est vraiment bizarre je trouve de poser la question à quelqu'un s'il se sent sensuelle quand il s'occupe de son corps. En générale se sont les personnes qui trouvent quelqu'un de sensuel ou pas.
Moi je me trouve bien ou pas dans mon corps, dans ma tête, dans ce que je fais. Je peux me sentir belle, désirable, mais sensuelle, ce n'est pas vraiment le mot qui me viendrait à l'esprit.
Après, oui effectivement des personnes m'ont trouvé sensuelle par ma façon d'être au naturel, de ma gestuelle, de mon sourire et regard au naturel (là ça serait plutôt charmeur d'après les autres), de mes expressions ... et suivant les époques vécues, de ma façon de m'habiller naturellement en accord avec mon corps, mon bien-être et avec ma personnalité, identité.
Et évidement de mon physique également qui en ressortait avec les vêtements.
Aujourd'hui, je dirais, c'est plutôt la merde depuis an pour moi ... donc le sensuel, c'est un peu le cadet de mes soucis. Je privilégie plutôt le retour à un bien-être, à une possibilité de pouvoir peut-être me sortir de la merde où je suis avant qu'il ne soit trop tard.
Dans ma vie je privilégie, les rencontres humaines sincères ; après sensuelle ou pas, actuellement, je m'en fous un peu, du moment que je suis bien dans ce que je vis et partage.
L'important pour moi, n'est pas de me sentir sensuelle, mais de me sentir bien, de partager des choses vraies et sincère, d'avoir du baume coeur, de pouvoir vivre, d'avoir la tête libérée de tout un tas de soucis, ce qui me faciliterait grandement la vie.
e comprends très bien ton sentiment sur le sensualité. Le bien-être par rapport à son corps et qui donne envie de se faire désirer, en portant un décolleté dentelle, comme tu dis, ou par la gestuelle, par le regard, par le sourire. Mais tout ça par par le fait d'être bien dans son corps, sa tête. La météo aussi y fait, puisque le printemps avec le soleil, les températures qui montent appellent à alléger l'esprit et du coup de se sentir bien. C'est l'effet de cette saison, et c'est pour ça que les personnes aiment s'habiller plus légèrement pour se faire désirer.
SupprimerMais, en ce qui concerne ma question, je te taquinais, parce que tu détournes souvent le sujet. A savoir comment c'est passée l'adolescence et la connaissance de son corps. Là, tu avais mis, avec talent, du coup, la sensualité. La connaissance de son corps sexuellement, passe beaucoup par la masturbation. Comme tu ramenais à la sensualité, j'ai mélangé les deux, à savoir la sensualité et la masturbation.
Si tu veux que je sois plus direct, quel est ton témoignage sur la découverte de ton corps, sexuellement, à l'adolescence ?
C'était tout. c'est le sujet. Mais, tu n'es pas obligé de répondre, comme nous, on l'a fait.
Gem je n'ai pas dit que je portais des décolletés en dentelles, j'ai dit qu'il m'arrivait de porter des soutien-gorge qui se trouvent être en dentelles et ce suivant les vêtement que je porte lorsque je sors à l'extérieur de chez moi.
SupprimerMa gestuelle, mon sourire quand il y là, mon regard, etc n'ont rien à voir avec le fait de vouloir ou avoir envie ou donner envie d'être désirable, c'est juste quelque chose de naturelle et qui n'est pas fait dans l'esprit d'être désirable, c'est juste moi. Après, il se trouve que certaines personnes trouve cela sensuels ou charmeur etc.
Ensuite cela n'a rien à voir, avec la saison me concernant, il y a des habits pour toutes les saisons, et pour ma part le fait que le printemps soit là, ne change strictement rien à ma situation.
En temps ordinaire, la seule chose que je trouve qui allège les esprits par rapport aux saisons, c'est le fait que ni trop de froid, ni trop de chaleur, en permet de faire plus de choses, autant par les sorties, par le bricolage, par la façon de s'habiller, et ce en pouvant s'en sentir également plus à l'aise et plus fluide dans la réalisation.
Je ne détourne absolument pas, ni souvent, le sujet Gem. Bien au contraire. Regardes l'endroit exacte où j'ai posté dans l'article. A cet endroit, personne n'a parlé de l'adolescence.
Si j'avais voulu avant que je me prenne le choux avec Filimages écrire par rapport à "L'adolescence et l'éducation sexuelle. (La connaissance de son corps)", je l'aurais fait en bas de page, tout comme Henri. Mais dis-toi bien que j'y aurais mis non pas ce dont toi tu te représentes les choses, mais ce dont moi je me représente les chose par mon vécu (moi en tant que femme/enfant/fille/etc et moi en tant que personne).
Et j'y aurais mis également uniquement ce que j'aurais voulu y mettre et pas forcément l'intégralité des choses.
Je ne suis effectivement pas obligée d'y répondre et cela dépendait d'un climat de confiance. Climat qui n'est que de moins en moins présent par le fait qu'à plusieurs reprises on en veuille diriger ma façon de penser et d'exprimer, de faire, jumelé également à un manque de sincérité, de contenance (contenu) en face de moi, qui se trouve de plus flagrante.
Actuellement je n'ai confiance (confiance non aveugle mais avec relativité), qu'en Henri et ce pour des raisons évidentes pour moi, qui en ressortent ici sur plusieurs articles.
Je trouves Gem, que tu as une façon de faire, qui n'est pas des plus ni délicates, et qui est plus centré sur l'interprétation que tu peux en faire sur les autres, qu'un réel désire de connaître les autres.
Ceci, je te le dis en tout franchise, honnêteté, et sincérité, et non pas pour te blesser ni méchanceté, ni pour détourner, mais de personne à personne.
Ha oui, le sujet est très riche et très intéressant, il est d'ailleurs un de mes fils rouge du blog que je nourris depuis dejà longtemps de cet acte merveilleux de la masturbation... mais bien avant les blogs, je remplissais déjà de pleines correspondances et autres blocs-notes, mais aussi bien davantage encore de partages et d'expressions téléphoniques et bien sûrs d'actes masturbatoires solitaires et/ou partagés en présence d'une ou de plusiurs personnes... Un pur Bonheur, un pur enchantement qui dépasse largement les périodes adolescentes et "éducatives", même s'il est préférable de parler de choses (Pouah!) "moralistes et répressives", tant le sujet est tabou! Et il y a largement de quoi en faire un sujet intéressant et passionnant, même s'il peut se révéler clivant (et stérile-sic)comme les commentaires ci-dessus le démontrent...
RépondreSupprimerMais quelle importance, il invite à regarder, observer, à se regarder et à s'observer....
Étant un grand adepte de la chose, et le vivant en partage, je ne manque pas de témoignages...
Pour sa découverte me concernant, c'est carrément romanesque, mais je ne suis pas Gustave Flaubert, donc je vous épargne des pages entières à lire sans aucun intérêt...
Mais je peux témoigner de choses incroyoblement belles et bien davantage encore, ça c'est certain car l'acte masturbatoire est un acte qui invite à la connaissance de soi et à vivre et ressentir qui l'on est et d'où l'on vient avec une approche qui est autant matérielle (sic) que spirituelle, philosophique, intellectuelle, scientifique(avec bien des limites justement) même! J'ai eu l'occasion de voir chez "Liligrololos" un Délit-Cieux article à propos d'une machine à masturbation mécanisée et assistée! Là, c'est le top!!!! Génial!
Ta référence au périodique "Union". Ce magazine a beaucoup compté dans ma vie et dans la résultant d'avoir une vie sexuelle aujourd'hui pleinement aboutie... Je me souviens avoir trouvé un jour de périgrinations dans la décharge publique du village, à flanc de ravin un carton contenant toute une collection de revues de ce genre ("Forum", "Sexualités", Harmonie", etc. Et le magazine "Union") dans toutes les langues-sic). Et à propos de "Union" et ce que justement il véhiculait, il se disait même que "« il devrait être remboursé par la Sécurité sociale. »". On écrivait alors en ce temps là avec de l'encre et du papier... et il existait ainsi une vraie relation physique (bah!) entre les éditeurs de presse et les lecteurs...
https://www.lesinrocks.com/actu/des-chibres-et-des-lettres-13488-25-07-2012/
Tu avais trouvé un vrai trésors. J'espère que tu les as toujours.
SupprimerOui, la connaissance de soi-même et de nos propres limites est un sujet vaste et passionnant.
Par contre ton lien ci-dessus, je ne peux l'ouvrir, je tombe sur une page de choix de partenaires pour "lesinrocks", et je ne sais que faire avec ça.
Pour Union, le magasine était interdit quand même aux moins de dix-huit ans. Pourtant, c'est même bien avant que tu apprends la sexualité.
https://www.kiosquemag.com/titres/union/achat-numero
Étonnant! Je viens de cliquer sur le lien et c'est la bonne page qui s'affiche: https://www.lesinrocks.com/actu/des-chibres-et-des-lettres-13488-25-07-2012/ L'histoire du succès populaire de ce magazine...
SupprimerNon non, ces bouquins là, ont chez moi tellement voyagé: ma chambre, les arbres, les cabanes, les bords de rivière, le grenier, la cave, etc. qu'ils se sont dispersés au fil du temps. Mais il s'est réellement agit d'une ressource documentaire passionnante par le biais de ces correspondances partagées d'un excellent niveau pour beaucoup... C'était le plein boom de San Antonio, Frédéric Dar, d'OSS 117 et de la BD. Je te rappelle que à cette époque là, la BD était réservée aux adultes et j'ai très vite adopté la consigne du Professeur Choron "Si vous n'achetez pas Hara-Kiri, Volez-le!" En effet de cette époque il existait beaucoup de revues sans publicités..., donc ces gens là éditaient des revues pour l'intelligence qu'elles contenaient et pas pour vendre des publicités.... Donc je volais des BD mais pas seulement, certains magazines photos étrangers m'intéressaient, tous réservés aux adultes et qui se distinguaient largement, comme en BD des publications françaises, un peu comme en matière de Musique...
On apprend la sexualité par son corps et bien peu par les apprentissages, puisque c'est même interdit, on parle de pornographie aux jeunes gens et aux enfants dès qu'il s'agit de sexualité… Et les adultes n'ont qu'une idée en tête: s'enfermer et enfermer la sexualité dans le peu qu'il en savent, c.a.d. généralement en couple et de manière hétérosexuelle… Avec ça!!! On voit tous les jours sous nos yeux le résultat!
Ha mais le magazine "L'Union" existe encore...????
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RépondreSupprimerJe n'ai pas de réponse à cette question.
RépondreSupprimerJ'ai simplement découvert mon corps, ma sexualité par des attouchements et par le contact avec de multiples accessoires., pour les sensations, des tissus, des matières, une fameuse malle chez moi, jamais ouverte dans laquelle l'ouvrant pour la première fois, j'ai découvert une malle de voyage d'antan (1850) entièrement emplie de vêtements de chanteuse de cabaret des années 30 et suivantes. soies, drapés, dessous fins, bijoux, foulards, etc. Mais c'est aussi en découvrant la pénétration anale avec à peu près tout ce qui me tombait sous la main que j'ai amplifié tout ce qui l'était déjà. Puis la rencontre lors de l'adolescence avec des copains du même âge qui partageaient les mêmes plaisirs secrets (qui sont du coup devenus partagés à plusieurs)qu'est venu cette liberté d'être et de vivre mon plaisirs, mes plaisirs.
Plus tard, bien plus tard, vers 45 ans, la rencontre avec une Femme (Mad-Âme C.)un peu plus imaginative que les autres et très sensuelle m'a permis de vivre le partage de ces plaisirs avec une Femme.
Mais auparavant quelques années auparavant, vers 30 ans, j'ai commencé à échanger à distance (minitel, téléphone courrier postal, etc.) sans contact physique au départ avec des Femmes qui étaient très troublées et très intimement par mes suggestions et partages d’expériences très intimes sur le plaisir féminin, et notamment de par une foules d'actes et de pratiques sexuelles toujours sans contact. Je me suis souvent entendu /vu qualifier de "Magicien".
Avec Mad-Âme C., sans chercher à utiliser quelque accessoires que ce fut, les sensations et leurs effets nous offrirent de cheminer, d'explorer, et de découvrir., d'inventer
Lorsque j'ai rencontré Ma-Demoiselle, j'ai d'abord pensé avoir à faire à une personne adulte compte tenu de sa répartie textuelle et intellectuelle, ce n'est que plus tard que je comprendrais qu'elle était Jeune Femme.
Très rapidement au cours de nos échanges, elle me fit part de certains troubles physiques que j'ai immédiatement associé à des troubles de natures intimes et sexuelles. Je lui ai donc suggéré et proposé quelques actes avec divers objets suggérés comme depuis et pendant des années à tant d'autres femmes. Mad-Emois-Elle ne donnait alors aucune suites et pour cause, elle ne comprenait alors strictement rien de ce à quoi je faisais référence en terme de sensations. Incroyable !
C'est ainsi que c'est par elle-même, très intriguée quand même par certaines sensations sexuelles elle est partie à la découverte de son sexe, mais de manière extérieure seulement, clitoridienne, donc et au travers de ses vêtements., avec l'aide d'un accessoire une balle/boule antistress, de ces balles mi-dures mi-molles en formes de globe terrestre. Qu'elle utilise du reste encore aujourd'hui.
Et c'est toujours en se frottant très (mais vraiment très!!!) vigoureusement se son sexe sur le mien qu'elle jouit le plus intensément. Et toujours avec une culotte sur elle.
Non, de ses découvertes sexuelles avec les garçons, cela se passe très très bien, c'est sentimentalement et intellectuellement que cela coince beaucoup. Elle est ravie lorsqu'elle fait l'Amour avec eux. Elle est à ce sujet allée retrouver un copain à Lyon avec qui elle adore jouer et faire l'Amour. Mais elle me confie avoir peur de faire l'Amour à ces garçons comme elle le fait avec moi. Peur de leur faire mal, peur de les effrayer de son appétit sexuel phénoménal à désirer ainsi un sexe d'Homme avec son ventre et de sa vulve en particulier. Il est vrai qu'un jour, j'ai cru qu'en se frottant ainsi de la sorte sur mon visage elle m'avait cassé le nez. J'ai également eu les lèvres endolories plusieurs jours ensuite. Elle m'avait littéralement broyé de sa vulve gorgée! J'aurais beaucoup aimé qu'elle recommence mais elle n'a jamais voulu. C'est donc mon sexe qui est régulièrement broyé.
Voilà un nouveau roman!!!
Et bien voilà, un témoignage en toute franchise Henri.
SupprimerUne nouvelle étape, car, hormis le plaisir solitaire de ta jeunesse, c'est bien à deux, que Dame-C a découvert sa sexualité, par des échanges avec toi, des préférences, et accessoires. Dame-C a pu ainsi s'épanouir.
Mais, c'est vrai ce que tu dis, dans le précédent commentaire :
" l'acte masturbatoire est un acte qui invite à la connaissance de soi et à vivre et ressentir qui l'on est et d'où l'on vient avec une approche qui est autant matérielle (sic) que spirituelle, philosophique, intellectuelle, scientifique(avec bien des limites justement)".
C'est vrai aussi que cet acte nous fait voyager.
Merci pour cet enrichissant commentaire, Henri.
Bonne journée à toi.
Certes, les "jeux" à deux pour la masturbation sont exaltants et Fantastiques, à bien des points de vues pour et dans la relation amoureuse sexuelle… Mais c'est bien par le fait concret de la pratique solitaire que l'on pratique ensuite d'autant mieux à deux cet acte sexuel intime de manière partagée. En matière de sexualité, comme en matière de relation interpersonnelle, la connaissance de soi est primordiale et fondamentale... Il s(agit autant de la découverte de soi et de sa sexualité qu'ensuite son épanouissement par la pratique, la connaissance physiologique, culturelle, scientifique, etc.
SupprimerHier il m'a été impossible de publier cette correspondance dans son intégralité pour cause de limite de caractères!!! Je vais tenter aujourd'hui, sinon je publie la suite dans un autre "episode" et je vous laisserai faire le lien entre les deux parties… Et pour enrevenir à ta remarque, justement Mad-Âme C. n'a pas eu besoin de moi pour vivre de tels plaisirs et pour découvrir sa sexualité, sinon qu'ensemble nous avons effectivement atteint des sommets, les sommets du Nirvana par le fait du Corps de nos corps distincts et réunis dans une intention très claire et très pure.... Délices et Volupté! Par l'Amour
Voilà voilà! Toujours impossible de poster l'intégralité de la correspondance (limite de caractères atteinte!). Alors voilà la suite et la fin!:
RépondreSupprimer(...)
Le 4 octobre 2017 à 11:03, X. a écrit :
Dimanche
Coucou Grand Frère,
En te lisant je me pose une question, dont je n’ai pas la réponse :
Une jeune fille découvre son corps avec ses mains ou autres objets qu’elle a sous la main et c’est bien naturel, est-il souhaitable qu’elle soit en possession d’un sextoy, je ne le sais pas.
Faut-t‘il, si jeune, se servir de ces accessoires ?, je ne suis pas convaincue, le plaisir se découvre à deux ou seul, (je privilégie l’être deux),
il me semble que les sextoys c’est mieux à deux, cela pimente, et permet des jeux. Avec « l’expérience » c’est une autre approche.
J’évoque bien l’aube de la sensualité, disons une certaine inexpérience. je sais aussi que tu as dû lui faire, en partie, son éducation. mais il est peut-être préférable qu’elle fasse ses découvertes elle-même avec des garçons et je vois, d’après ce que tu dis, que cela coince un peu..
Une réflexion parmi tant d’autres.
Bises
X.
De : Henri À : X.
Chère Soeurette,
C'est que tu as un très bon sommeil je pense.
Ou la Petite est très fragile, très sensible,
Je la protège beaucoup, je l'aime tellement. Elle est devenue comme ma fille.
Lundi soir je suis allé manger avec elle et chez elle dans sa mignonne chambrette de la Cité Universitaire en centre-ville à côté de chez moi. Elle est adorable, elle m'a fait visiter chacun des placards, chacun des tiroirs, tous ses Trésors, ses culottes, ses chaussures, ses petits carnets, toussa.
Bises,
Henri
Henri, je en sais pas, tu ne t'es pas gouré dans copier/coller. Ou, il me manque quelque chose ?
SupprimerPas grave.
Je ne sais comment les gens découvrent leur corps. Moi, comme je le racontais dans mon témoignage de tout en haut. Je l'ai découvert tout seul, en m'informant secrètement (Union) ou en observant.
J'étais trop timide pour demander quelque chose sur la sexualité à qui que ce soit (sans doute à tort, mais ce n'était pas la même époque), et personne s'engageait non plus en 'en parler. Peu de temps après (la première masturbation), oui, il y a eu les copains avec qui on discutait de ça, sans pour autant qu'ils en sachent plus que moi. Mais on avançait à petits pas. Mais sûrement.
Pour les filles, je ne sais pas. Ça a l'air tabou. Pourtant, je crois et je suis même sûr qu'elles ont de l'avance sur nous et il y a aussi une certaine solidarité féminine.
On ce qui concerne les sextoys, je n'en sais pas plus. Mais, je crois qu'avec internet, ça va plus vite. Aujourd'hui les filles connaissent tous ça avec les accès vidéos de tous genres (quel monde) et avec les facilités de commander. Enfin, j'imagine.
Les communications sur téléphone aussi vont bon train.
Bref.
Dans cette correspondance c'est bien une Femme (X.) qui évoque les sextoys.. Ce que la personne dont je parle utilisait pour se masturber était un objet totalement usuel (une balle de caoutchouc), sa créativité ensuite pour se masturber faisait le reste de tout ce qui peut être alors utilisé... Mais ce n'est pas nouveau, un accoudoir de fauteuil un coin de table et c'est parti!!! https://photos.app.goo.gl/hK2t78Bu67qoCQNSA
SupprimerSans parler des objets usuels dans une maison et de tout ce que l'on peut encore inventer, fabriquer, etc. S'intéresser à son propre corps et un peu d'imagination suffisent... Nul besoin d'internet ni de boutiques spécialisées, quelle tristesse, à moins de chercher un objet d'art particulier ou une forme fonction précises...
Cela dit je suis déjà entrée dans des boutiques spécialisés mais c'était pour soit voler des "poppers" soit pour aller choisir à deux, soit pour voler des objets hors de portée de ma bourse. et de mes moyens et toujours pour faire plaisir..
Femme X, ne manque pas d'imagination, effectivement. Je suppose, qu'une fois découvert la jouissance solitaire, elle scrute chaque coin et recoin de son "chez soi" ou même à l'extérieur, pour transformer chaque objet ou meuble, en amant extraordinaire, pour s'envoyer au septième ciel.
SupprimerUne belle façon d'humaniser les choses inertes qui nous entourent.
Je trouve ce témoignage très intéressant et ton lien, aussi chaud qu'il soit, transmetteur de bonnes sensations.
Dommage que les femmes ayant connu de telles expériences ne viennent pas elles-mêmes, témoigner ici même, pour animer, dans le bon sens et amicalement, afin d'étoffer cet article.
Merci, Henri.
Les chacals
SupprimerMangent la valise,
Les oiseaux s’envolent.
Si tu es intéressée des témoignages, je pense que tu trouveras aisément en t'abonnant à "L'Union", puisque le magazine est toujours publié... Le contenu de doit guère avoir changé... Sinon, tu verras bien avec le temps et au fil de la vie de ton blog..., mais les témoignages, il faut parfois les susciter..., c'est quand même délicat...
SupprimerCher Gil,
RépondreSupprimerQue diable suis-je venue faire sur cette page qui semble faire référence à un échange ayant précédé ton article? Nous n'avions pas d'éducation sexuelle dans ma famille mais mes parents chantaient des palliardes sans leurs paroles que nous apprîmes à l'université. Mes parents semblaient beaucoup s'amuser et j'imagine que tout se passait à merveille dans leur boudoir. Candide comme je le suis ( n'est-ce pas? Tu lis parfois mon blog donc... ), j'ai découvert quelques secrets fascinants avant d'être totalement pubère Le plus drôle est que j'ai exploré mon corps sans avoir eu la moindre connaissance de sujets si tabous qu'ils n étaient pas enseignés à l'école. Comme Monsieur Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir, j'excitais mon joyau dont j'ignorais le nom. J'eus même quelques jeux intimes qui me font songer aux articles de Marianne, mais sans sex toys car il y a un temps pour tout. Est-il possible de ne pas découvrir son corps lors de l'éveil du désir? Ceci m'intrigue, parce que la nature fait bien les choses. Je suis retombée sur mon épaule atteinte par la chute précédant mon coma de l'été 2020. A l'instant, la douleur me gêne pour taper sur mon clavier. En conséquence, je préserve l'épaule pour permettre à la main droite de s'occuper du joyau...
Hé quel plaisir de te voir là, Elisabeth, dans un article qui date.
SupprimerJe ne sais comment tu t'es retrouvée là (remontes-tu mes articles pour les lire et découvrir). En tous les cas, ça fait énormément de bien de te voir là.
Et un grand merci pour ton précieux témoignage. J'aime ce genre d'échanges sincères, surtout quand ils concernent la sexualité de chacune et chacun.
Je vois que ton parcours d'adolescente a été copie conforme au mien, puisque tu t'es "débrouillée" toute seule, tout comme moi.
Plus haut, je révèle que l'érection et donc l'excitation venait tout seul, et appelait la main et les doigts à découvrir et parcourir son bas ventre. En fin de compte , c'est naturel.
Une chose me manque, quand même, dans tes révélations, c'est ton ressenti à cet appel ( des papillons dans le ventre? une humidité soudaine? gonflement du clitoris ? ton joyau, etc....).
et qu'est-ce qui remplaçait les sextoys inexistants à l'époque ?
Un stylo? une brosse à cheveux ? (tiens! tiens! Ça me rappelle quelque chose).
Merci encore pour ton passage, Elisabeth.
Je t'embrasse.
Pour le "m'informer", quand tu le coches, tu as en général un mail pour une réponse éventuelle. Mais là je crois, qu'il faut être adhérent (voir en haut à droite du blog) où tu renseigne ton adresse mail ( ne t'inquiète pas, elle reste secrète) pour avoir les notifications du blog.
Juste un petit complément : j'ignore s'il faut cocher ou non la case " m'informer " en publiant un commentaire Je viens de le faire à l'instant?
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