En tombant, sur ce dessin, j’ai replongé dans ma bibliothèque verte que j’ai dévorée pendant mon enfance, de « L’île aux trésors » à « Robinson Crusoé », entre autres.
Mais très vite, Mes érovasions m’ont rattrapé. Ce n’est pas Vendredi que je retrouvais sur cette île déserte. Je me vois débarqué de ce navire, seul, bien évidemment et rejoindre cette belle flibustière, en pleine mer des Caraïbes ou au milieu du Pacifique. Pacifique, j’espère qu’elle est, elle.
Qui n’a jamais rêvé de vivre sur une île déserte avec une jolie fille. Lui allumer un feu pour griller du poisson, aller lui cueillir des noix de coco, et bien sûr lui faire l’amour sur la plage, nus comme des vers, lécher par les vagues, brûler par le soleil.
Oui, je rêve, je fantasme. Mais pourquoi représente-t-on les femmes pirates, belles comme des cœurs, sexy à souhait ?….
Trêve de plaisanteries et d’évasion. Connaissez-vous la vie extravagante de Jeanne Barret (cliquez), première femme a avoir fait le Tour du Monde, embarquée sur le Bougainville, déguisée en homme, ou encore Anne_Bonny (cliquez), la pirate (extrait : On raconte qu'Anne Bonny était torse nu comme une Amazone, habillée seulement d'un pantalon de velours noir cousu par Pierre. Une main posée sur le pommeau de son épée, l'autre agitant une écharpe de soie à l'intention du Gouverneur)
Elles avaient une force de défier les hommes.
Pourquoi, de nos jours,
Il faut toujours se battre pour avoir cette égalité ?
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Tonnerre de Breast ! Je veux bien me laisser aborder par ces jolies pirates et leur conter fleuret !
RépondreSupprimerCoups de canon dans l'air.
SupprimerBaissons les armes, Phil, nous avons,
d'autres arguments à faire valoir, elles aussi.
Jolies pirates qui me font rêver! Oui, je connais (de nom, bien sûr) ces pirates, surtout Anne Bonny et Mary Read qui furent certainement amantes. Ophélie les aimait beaucoup et m'en parlait souvent!
RépondreSupprimerEffectivement, Marianne, j'aurais pu aussi ajouter Marie Read dans mon exposé.
SupprimerDes femmes à fort tempérament, travesties et courageuses, qui n'hésitaient pas à se battre comme des hommes.
Anne et Mary amantes, je ne sais pas.
Tandis que Jeanne Baret était plus sage, mais aussi travestie pour pouvoir embarquer avec son compère botaniste, comme elle, Philibert Commerson. Ils ont pris tout deux d'énormes risques, mais on leur doit le fameux bougainvillier qui orne les jardins ensoleillés.
Ca ne m'étonne pas qu'Ophélie aimait ces femmes.