En attendant les beaux jours.
Une porte en chêne pour y pénétrer.
L’eau y est claire, transparente, et fait le bonheur des truites.
Le souffle chaud de ce vent d’été, emplit mes poumons.
Les parfums et odeurs de la nature, s’y mélangent et m' enivrent agréablement.
Et puis il y a toi, aussi blonde que les blés, allongée et nue.
Ton chapeau de paille et ta robe à fleurs, près de toi.
La queue d’une pâquerette, entre tes petits doigts,
Tu semble m’attendre, en jouant à « je t’aime, un peu, passionnément… ».
Rien pour nous déranger, juste les chants des cigales, des abeilles qui butinent, un papillon qui virevolte, des aboiements d’un chien égaré, des piaillements de petits d'oiseaux ou le chant harmonieux du merle amoureux.
Tu m’offres tes gros soleils, aussi gros que des tournesols
Tout près de ton œillet, ta rose suinte déjà de toute sa rosée.
M’autoriseras-tu à goûter son miel ?
Humm, qu'il est doux ton petit nid ...
Qu'il est bon de prendre de l'avance dans les saisons et de se voir offrir une si jolie rose...
RépondreSupprimerJe confirme Phil, même s'il fait un peu frais encore. L'un n'empêche pas l'autre.
SupprimerOh Gil, une très belle image, cher ami. Une belle et voluptueuse femme sur terre. Parmi les fleurs et les couleurs.
RépondreSupprimerJ'aime aussi votre écriture, Gil. Elle parle au coeur.
Je vous souhaite une bonne journée.
Merci Giannis. Ça fait du bien de s'évader un peu, pour changer de l'actualité qui n'est pas drôle en ce moment.
SupprimerC'est le but de mon écriture et des images.
Merci de ta visite cher ami.
C'est une belle adresse, on a envie d'y aller!
RépondreSupprimerMarianne
Toi et tes amantes êtes les bienvenues, Marianne.
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