10 janvier 2022

Féminin/ Masculin , Masculin/ Féminin (2) ACTE 3.

 Un ami déçu, puisqu'il avait trouvé un terrain d'échanges sur un sujet qui lui tient à cœur, m'incite à remettre ce texte. 

A la demande d'une blogueuse, Elisabeth, pour ne pas la citer, qui me réclamait une suite sur ce sujet, l'Animus pour la femme, l'Anima pour l'homme. Un sujet qui m'a d'ailleurs surpris, au nombre de commentaires. 52, il me semble.
https://erovasions.blogspot.com/2021/02/femininmasculin-masculinfeminin.html
Je republie l'épisode 1, la suite se trouve juste en dessous.





I)

L’homme entre et commence à déshabiller, tout doucement, sa protégée qui est plantée immobile devant lui.

Il commence à descendre, tout doucement, la fermeture éclair qui parcourt tout le devant de sa robe en cuir.

Aussitôt les seins libérés, il s’arrête. Il regarde sa compagne bien dans les yeux, lui sourit.

Ses mains caressent chaque joue, avant de lui donner un baiser sur les lèvres.

Ses mains descendent le long du cou et finissent par dégager la poitrine lourde et frémissante.

Ses baisers couvrent ses seins, ses aréoles, ses tétons durcis et fiers.

Il s’attarde sur ces pointes érigées. Il les suce avidement, comme si la tétée aux seins de sa mère était revenue en lui.

Puis, son pouce et son index reprennent la fermeture éclair. C’est avec délicatesse qu’il continue la descente. Il y met toute sa sensibilité, sa sensualité. La peau nue du ventre apparait, avec, en son milieu, un joli nombril, source de la vie.



Quand il arrive enfin à l’ouverture des deux pans de la robe, sa partenaire l’aide brusquement, en dégageant ses épaules. Ce qui a pour effet de faire tomber le cuir sur le parquet.

L’homme est surpris, dans un premier temps, ses yeux rivés sur l’entre-jambe de sa compagne.

La femme plantée devant lui, fièrement dressée sur ses escarpins, est pourvue d’un énorme phallus.

A l’étonnement de l’homme, suit l’inquiétude alimentée  par les intentions de la femme.. Il recule d’un bon mètre et peut percevoir une sorte de virilité peu commune, traduite par ce gode-ceinture qu’elle a enfilé. Il lit aussi un changement d’expression sur son visage avec un sourire presque moqueur. Son regard aussi a changé , des milliers d’étoiles ont pris place dans ses yeux.

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2) suite

A son sourire moqueur, la femme ajoute :

- Ça t'étonne, n'est-ce pas ?

- Ben, oui, tu m'as habitué à plus de féminité. Et je suis surpris par une telle audace à ...disons...montrer tes désirs. Tu m'as habitué à être plus réservée question sexe.

- J'avais envie, aujourd'hui, à me sentir viril, à me mettre à votre place, à savoir ce que vous ressentez.

- Et bien , je vois tes arguments.  Tu es....comment dire... bien montée.



- Qu'importe. Par contre, sache que j'adore toute ta douceur, ton côté féminin. J'ai aimé ta façon de m'effeuiller. Pas de précipitation, une attention de donner du plaisir, et pourtant, tu gardes toute ta virilité. Rien qu'à voir ce qu'il y a sous ton nombril. Mais j'avais envie de savoir ce que tu ressentais quand tu me sodomises.

- C'est drôle, j'ai eu des pensées perverses sur ce sujet. A savoir, ce que vous ressentez, vous, quand on vous demande votre permission de pouvoir vous le faire.

- Et bien tu vas pouvoir répondre à ta question, mon chéri. Vous les hommes, vous êtes obsédés par le fait de nous prendre par derrière. Par amour, en ce qui me concerne, je t'es permis de le faire, même si j'appréhendais cette pratique, que je ne trouvais d'ailleurs pas indispensable. Je dois, quand même, te dire, que depuis, j'ai changé d'avis, et qu'il m'arrive d'y prendre mon pied.

Pendant ce temps, l'homme, en l'écoutant attentivement, se mettait entièrement à nu. Il se retourna, s'appuya, de ses bras tendus, au mur. 

La femme s'amusait à prendre les commandes. Elle fouilla son sac à main et en retira un tube de vaseline. Ses yeux se posèrent sur les fesses musclées de son homme comme si elles étaient mises à sa disposition.

Elle aspergea de lubrifiant, le phallus qui s'élevait en bas de son ventre, et dont, pour le coup la rendait fière. De longs va et vient de sa main parcourait la hampe en silicone, la rendant toute luisante. Elle s'approcha de son homme. A ses pas amplifiés par ses talons cognant le sol, il frémissait d'envie, mais aussi, tout comme elle, la première fois d'appréhension.

Il sentit la main féminine, mais autoritaire, parcourir son sillon. La vaseline, froide au contact, dès le début commençait à réchauffer son âme et son intimité. Les doigts se faisaient plus précis, en décrivant des cercles autour de son œillet. La manipulation s'arrêta. La main de la femme devenue ferme se posa sur une des fesses, l'empoigna et l'écarta.

L'homme sentit le bout arrondi au bord de son orifice. Il allait enfin sentir ce que la majeur partie des  hommes imposaient à leur femme.

- Ne t'inquiète pas, mon chéri, je vais y aller doucement, comme toi tu la fais. Tu sais, ça me fait tout chose d'être à ta place. Ça ne m'étonne pas que ça vous excite, vous les hommes, de voir de petites rondeurs à votre merci, et un petit trou tout frémissant.

L'objet en silicone et bien huilé, commençait lentement son petit chemin. L'homme, a la fois crispé et consentant, sentait le gland artificiel s'imposer. Il sentit son sphincter résister, dans un premier temps, puis, ensuite, rendre les armes. Une boule de feu vint aussitôt envahir ses bas reins, puis son bas ventre. Le phallus, en totalité en lui, lui faisant pousser un cri.

- Voilà, mon chéri, ça va ?

- Oui, mais, surprenant.

La femme, à la manière d'un homme posa ses mains sur les hanches de son homme et commença à coulisser le gode ceinture.

Au bout d'un court instant, les coups devenaient plus intenses. L'homme avait même le droit, des moments, à des tapes sur les fesses. Ce qui le faisait gémir de plaisir.

- Je ne cherche pas la soumission. D'ailleurs, tu n'es pas soumis. Je cherche, tout simplement, la puissance, la virilité de l'homme. Ce que vous ressentez.

- Et tu les as trouvées ? Tu aimes ?

- Oui, et toi ?

- Oui.

Le feu du début, avait gagné maintenant, son ventre. Ses abdominaux le tiraient entre la douleur et le bien-être. Il découvrait une nouvelle sensation bien différente des orgasmes communs. Il attribuait ce ressenti au fait que l'homme a, tout comme la femme, l'équivalent d'un point "G" qui se situe, quand à lui, bien différemment. C'est le prolongement de la verge vers l'intérieur du petit trou, en passant par le périnée. Et le gode de sa femme frottait cette partie supérieur de son intérieur, d'une façon délicieuse et excitante.

Il fut surpris, d'ailleurs, de voir son liquide se répandre par saccades sur le plancher de la chambre, sans toute autre manipulation que la pénétration de sa femme. Son bas ventre s'était contracté un maximum, avant de libérer toute son énergie, en une puissante éjaculation.

La femme ne fut pas en reste. Est-ce la situation de voir son homme ainsi pris et de jouir ? Le ressenti inhabituel de cette puissance ? Mais aussi à chaque coup de reins sentir le cuir articiel du gode ceinture venir frapper ses lèvres et son clitoris, toujours est-il que la femme, presque en même temps que son homme, partit dans un long orgasme très intense.




Leurs cris de plaisir résonnaient longuement contre les murs de la pièce.

La femme se retira de son homme, et  enleva son gode-ceinture. L'homme reprenait petit à petit ses esprits. Il se retourna, fit face à sa compagne, et se colla à elle. Il sentit ses seins lourds et fermes contre son torse. Ils s'embrassèrent passionnément avant qu'il lui demande si elle avait aimé.

- Oui, en passant, comme ça. Mais je préfère retrouver mon aspect féminin.

- Moi aussi, mais l'expérience valait le coup. Mais je te préfère "en femme". Et il faut dire que pour vous, c'est plus facile de "s'équiper" en homme...

- Oui, reprends ton image masculine. D'autant plus que j'aime ton côté féminin, quand tu mets toute ta douceur pour m'allumer. Et toute ta puissance et ta virilité quand tu me pénètres.

- Pas difficile quand toute ta beauté, tes formes féminines m'excitent à l'extrême.

Les langues se joignirent une nouvelle fois pour un baiser de feu.

32 commentaires:

  1. Très bien écrit, et riche de dimensions intéressantes de nos sexualités et de nos Réalités humaines,
    Mais des propos de ce texte m'interpellent, enfin des manières de dire des choses, et donc de les appréhender dans cette relation amoureuse:
    "sentir ce que la majeur partie des hommes imposaient à leur femme." ou encore:
    "quand on vous demande votre permission de pouvoir vous le faire"

    Et au passage Belle synchronicité, cher Gil avec mes lectures du moment... :https://photos.app.goo.gl/zfAJ7REUDvNADXxw7

    P.S.: Superbe illustration de cet artiste italien découvert par "L'Origine" Matteo Arfanotti.....

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  2. Ne t'affole pas Henri, c'est une fiction.
    Oui, je pense sincèrement que la majorité des hommes, aiment toujours plus et que donc, après avoir goûté aux joies érotiques par la voie normale, ils veulent davantage et désirent pratiquer la sodomie de leur compagne.
    Ce qu'elles sont en droit de refuser. Ça va de soi.

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  3. Oh my Gode ! Saint-Ture a fait un miracle...

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  4. Cher Gil,
    Ne sois pas surpris parce que c'est sans doute normal. Il est évident que le texte est écrit par un homme. Marianne te le fera peut-être mieux sentir que moi. N'as-tu jamais essayé avec un homme pour percevoir ce que ressentent deux hommes? Ta femme reste un peu fantasmée : comme dans la première partie, elle est insaisissable. La virilité ne s'exprime-t-elle que par la sodomie? Je ne crois pas. J'ai découvert avec surprise que des amants me trouvaient virile si j'étais sur eux, position que j'aime bien et qui m'est naturelle. Il suffit donc à certains hommes d'être sous une femme pour se sentir dominé : c'est cocasse. Il y a mille autres façons de le vivre en dehors de la sexualité au sein de l'équilibre relationnel. L'idée de la méthode expérimentale est-elle uniquement virile? Je n'en suis pas certaine ( j'ai aussi utilisé ce type de méthodes dans un contexte différent : je t'expliquerai ). Tout semble contrôlé dans l'essai de la femme : n'est-ce pas le cerveau gauche qui domine? La piste est à approfondir. La femme fantasmée ne fait l'expérience qu'une fois : pourquoi? Féminin ou masculin? Ou sans rapport avec ces catégories? Elle abandonne vite sa virilité : c'est surprenant! J'avais un fantasme de femme : ressentir ce qu'un homme ressent en payant une femme! Il me fallait donc un prostitué occasionnel. Véronique ne nous croyait pas capables d'aller au bout de l'expérience! C'était mal me connaitre! Je suis partie en fou rire jusqu'à une chambre d'étudiant au sixième étage ( l'excitation dans l'escalier entre dans la catégorie " bagatelles de la porte " ). J'entre dans la chambre, pose mon billet de cent francs avec autorité et avec en message subliminal : " tu ne vaux que cent francs "! Panique chez l'étudiant : " mais je ne sais pas si je pourrai... " " Tu me le dois "! Un zeste d'humour et de conversation passionnée avec l'étudiant de sciences po, et tous deux atteignent l'orgasme ensemble! L'étudiant veut recommencer. " Là, ce sera gratuit! Tu ne vaux que cent francs " ( précision : je suis économiste et j'aime rire ). Qui allait gagner? Je refusais de céder, et l'étudiant fut si traumatisé qu'il n'a jamais recommencé ce jeu! En descendant l'escalier, j'étais reprise d'un fou rire, puis j'ai rejoint un hammam! J'ai compris toutes les confidences de mes amis sur leurs relations avec des putes. Le stade suivant serait de faire jouer un scénario aux prostitués : il aurait fallu d'autres volontaires! Pourquoi cette idée? Gil, tu ne le répèteras pas ( promis ) car dans une famille comme la mienne, ceci n'est pas dans les us répertoriés dans le bottin mondain allias bottin des concierges, mais un de mes frères me raconta une histoire pittoresque. Il invita plusieurs prostituées en l'absence de nos parents dans l'appartement, leur faisant jouer un scénario où elles portaient des imperméables de mes parents! Très amusée, j'ai commenté : " as-tu vérifié si les imperméables ne sentent pas la cocotte? "Il eut l'air surpris, et si l'odeur était là, je n'en sus rien par mes parents incapables d'imaginer une histoire pareille! Véronique si dévergondée qu'elle soit avait plus de tabous que moi, et l'idée d'une mise en scène rigolote l'aurait gênée. Il me semble que c'est une histoire de tempérament plus ou moins farfelu, mélangeant animus et anima. Alors, tenteras-tu le troisième épisode?

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    1. Magnifique féminité telle qu'exprimée et transcrite là, c'est même très touchant et sensible.. On croirait lire des passages des "Carnets de Rose"..., ainsi transposész par écrit depuis le réel!
      Oui, la position de Lilith peut effectivement déranger et il s'est produit trois fois dazns ma vie que des femmes dans cette situation me fasse concrètement part pendant et après d'avoir l'impression et d'avoir vécu le fait d'être un homme à soit de frotter ainsi, soit à me masturber dans cette position, mon sexe entre leurs jambes et plaqué "dans" leur sexe, entre leurs lèves, soit même à longuement se frotter ainsi dans cette même position...
      Surprenant expérience et désir que de "se payer" une femme et.ou un homme... Je dis cela parceque je réside depuis qques décennies en ville et dans un quartier célèbre pour sa prostitution... Je fréquente donc et j'ai fréquenté des prostituées au bas de mon immeuble et on sympathise vite par le fait du quotidien à se croiser ainsi jour et nuit... Jamais ne m'est venue l'idée, ni l'envie, encore moins le désir de ce genre d'actes, pourtant j'ai vécu bien des expériences capillotractées. Mais déjà à observer la misère véhiculées par les clients et le dégoût manifeste des prostituées, cela ne suscite guère l'envie de connaître... Au final, la fréquentation d'entraineuses de bistro semble plus riche...
      Mais chapeau bas pour avoir joué à ce jeu-là, parceque oui, semble ressemble plutôt à un jeu de sensations...,
      Et encore une fois la chute de cette expérience me conduit encore àpenser à Lilith, à la voir et la lire en toi, je veux dire,
      Concernant tes remarques à propos de la sodomie et des relations viriles dans et par la sexualité entre hommes, effectivement il suffit d'aller à l'expérience pour savoir et connaitre..., tout comme pour se laisser aller à être animus et anima, tant sur un plan physique que psychique et je suis convaincu que c'est dans cette Union-Osmose que l'Amour s'exprime, se cultive et se vit pleinement, en somme hors genres et dans la relation humaine pleine et entière libérée de tous ces fatras de conventions, de morales, de représentations et de peurs....

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    2. Merci Henri,
      Tu confirmes le jeu des positions, la femme sur l'homme. C'était aussi un jeu de pouvoir dans l'expérience avec un apprenti prostitué. Pour vivre autre chose qu'une relation vénale, tout en la vivant, il te faudrait essayer avec une femme autonome qui se prostitue et qui choisit ses clients. J'ai vécu une très belle amitié avec l'une d'entre elles. Il me faut approfondir l'histoire de Lilith.

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    3. Je vis déjà une et ai vécu des relations amoureuses et sensuelles-érotiques avec une femmes, des femmes qui sans pour autant se prostituer vivent et vivaient amours Multiples et relations Multiples et ce sans échangisme pour autant même si cela a pu se produire... Pour moi cette position est un acte, oui, qui met en oeuvre le Feu intérieur et active généralement la "Femme Sauvage", au sens de la sexualité affirmée, assumé, réalisée... Il n'y à qu'à vivre et observer la Nature et la Qualité des orgasmes ainsi vécus pour comprendre combien il est pertinent d'extraire Ève de ses côtes d'Adam pour un homme comme dirait Joumna Haddad, une lecture que je te conseille au passage... Et ce, sans pour autant qu'interviennent quelques formes et fonds de pouvoirs qui soient... Le pouvoir et ses manifestations est le pire des poisons pour l'humain et c'est pour pour cela qu'au sortir du Néolithique, les humains des premières sociétés antiques ont inventé des entités invisibles qui détiendraient des pouvoirs. S'en affranchir aujourd'hui est retrouver la profonde, nos profondes Nature humaines, sans avoir recours à la marchandisation des relations...
      Ici un lien avec quelques textes intéressants à propos de Lilith, certains aspects se recoupent bien évidemment. Lilith est et reste un mythe et devient un archétype du Féminin comme tellement d'autres, tout aussi riches et intéressants...
      Si tu es intéressée, j'ai aussi qques éléments bibliographiques... à propos de Lilith et d'autres archétypes ...

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    4. Femme Sauvage, Sexualité assumée, dominante flamboyante et fougue exigeante : pour moi, c'est tout naturel. Dans ce que j'ai lu sur Lilith, je ne vois pas l'archétype du démon, mais je trouve dans les textes bibliques qu'elle est la première femme. Simultanéité de la création de l'homme et de la femme dans une égalité ontologique ( les textes sont souvent mal traduits en français ).J'ai esquissé une approche sur Overblog, plateforme de blogs où j'ai connu Ophélie.

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    5. Je me sens pleinement femme, femme sauvage, femme de feu, femme de force, sculptée dans l'argile ocre. Lilith me semble être la première femme en termes d'archétype à égalité ontologique avec le premier homme. Je l'ai trouvé dans une certaine lecture des textes hébreux souvent mal traduits. Je l'ai esquissé dans un article sur la plateforme Overblog - celle où j'ai connu Ophélie.

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    6. Effectivement lorsque je parle d'"archétype" à propos de Lilith, je parle d'archétype du Féminin et certainement pas d'Archétype du démon et/ou du Mal, évidemment... Le Féminin est bien une Réalité, comme le Masculin, le Mal est une invention comme l'est le Bien avec ce manichéisme abject et stupide qui permet de faire le tri entre les bons et les méchants, le paradis et l'Enfer, etc. de manière tellement pauvre et réductrice... Nos réalités sexuées sont bien de même origine, et qu'importe que certaine et certains aient décidé à notre place que l'un aurait été tiré de l'autre ou je ne sais encore quelle connerie, qui peut conduire comme le font certaines et certains à en jouer avec poésie plutôt qu'avec misère et stérilité...Nous sommes effectivement bien plus que proches puisque même entre hommes et entre femmes ou autres transgenres et sans genre nous nous y retrouvons de cette Unité qui est absolument et totalement cellulaire, et aux sens ontologiques, aussi par nos sexes et/ou nos autres orifices quels qu'ils soient pourvu qu'il y ait ivresses et Joies, n'est-ce pas... D'autres archétypes féminins abordent ces dimensions de l'Universalité du féminin et de l'humanité par d'autres aspects... je pense à Isis, Hildegarde Von Bingen, Aphrodite, etc. selon ce que l'on souhaite voir mis en évidence (É-Vie-Danse..?) Et il y a beaucoup de Volupté dans les rencontres par l'Amour à explorer ensemble à plusieurs ou bien seulement par soi-même à explorer et vivre ces Réalité anciennes et profondes de nos Êtres, c'est une Alchimie dont l'Ingrédient central est l'Amour et le Corps, nos Corps en effervescences comme nos articles respectifs et autres publications le chantent à merveille par l'expression...

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    7. J'ai répondu à tes commentaires sur mon texte concernant Lilith. La kundalini, les chakras : fascinant! J'ai suivi des stages sur les chakras que je vois... J'en parle aussi dans ma réponse dans un de tes commentaires. Je t'ai donné l'adresse de mon blog. Je croyais qu'elle s'affichait sur Blogger.

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    8. à Henri : http://elisabethdehautsegur.over-blog.com
      ou peut-être https://elisabethdehautsegur.over-blog.com

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    9. Et tu as dû changer d'adresse mail (messagerie électronique) depuis la création de ce blog (overblog), car je t'ai écrit depuis la rubrique "contact" de ce blog et mon message est resté sans réponse à cette heure...

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  5. @ Elisabeth.
    Que de choses à dire.
    Et oui, je suis un Z'homme. Désolé.
    Non, faire l'amour avec un autre homme ne m'attire pas. J'aime trop les femmes. Tu le savais, non ?
    Non, c'est vrai la virilité ne s'exprime pas uniquement avec la sodomie. Mais avoue là, qu'il y a un peu de douceur dans cette pénétration, dans ce texte.
    Eh ! Tu es une vraie commandeuse, toi. Je le savais aussi.
    Tu prends les initiatives, et tu as l'air de bien chevaucher comme Honorine.
    La femme de mon texte, tout comme l'homme, oui, voulaient tous les deux essayer le ressentis de l'un(e) et de l'autre, sexuellement, mais, je crois qu'ils veulent rester à leur place et pourquoi ne pas recommencer un peu plus tard.
    Moi, mon idéal, serait d'être femme une journée, et, tout le temps dans une autre vie. Il faut bien fantasmer.
    Pas mal, ton histoire de prostitué. Mais injuste, le pauvre, tu l'as vexé (et en plus, il devait payer ses études, ainsi)...mais dis moi, tu n'as pas été à la hauteur la première fois, ou quoi, pour ne pas recommencer gratuitement. Moi, je l'aurais fait. Pourtant, tu dis bien que vous avez joui tous les deux. Et alors, ton ressenti. Tu as appris quelque chose ?
    L'épisode du frangin et de ses prostituées chez tes parents est rigolote. C'était effectivement osé de mettre les imperméables, aux risques qu'ils cocotent la cocote.
    Elisabeth, tu aurais dû dévergonder ta copine Véronique. Elle coincée, toi coquine.
    Un troisième épisode...tu es gourmande. Je voudrais bien qu'une femme écrive sur ce sujet. Toi ? Marianne ? Ses amantes ? Il faut sortir de la soumission en plus, il n'y a pas que ça.

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    1. C'est l'étudiant qui voulait que je paie une deuxième fois! Pour mon jeu ( j'étais aussi étudiante ), je devais lui imposer la gratuité la deuxième fois. Des hommes? J'en avais autant que je voulais à cet âge, mais j'avais décidé de faire un acte absurde en ressentant ce que sentent les hommes qui choisissent de dominer la prostituée. Je sais, Gil, que tu rêverais d'être une femme : cela se sent dans tout ce que tu écris. La femme semble presque confuse d'avoir testé la sodomie avec un gode-ceinture! C'est mignon d'avoir des scrupules! Je suis peut-être un peu garce à mes heures! Véronique était un mystère pour moi. Très sensuelle, elle avait des interdits cocasses! Nous avions une correspondance cocasse et elle ne savait jamais si je lui disais la vérité ou non! Je ne sais absolument pas pourquoi elle fut gênée par une histoire de carotte que je lui ai racontée telle que je l'ai vécue! J'ai lubrifié la carotte pour la paroi du vagin ( mais si, c'est important de penser à ces lieux hypersensibles ), puis j'ai fait chauffer une casserole d'eau où j'ai fait cuire la carotte en rondelles et la consommant en vertu de je ne sais quel sacrifice rituel!!! Véronique était gênée parce qu'elle avait utilisé une carotte un jour de manque! J'ai tout essayé moi-même...

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    2. Ah ! Tout s'explique pour l'étudiant. Tu aurais dû lui dire que toi aussi, tu étais une étudiante prostituée et te faire payer pour la deuxième fois.
      Comme ça tout s'annulait. Hé ! hé !
      Pour revenir à cet épisode de prostitué au masculin, je trouve que ton exemple pour connaître le ressenti de l'homme qui s'en offre une, et donc, de prendre les commandes en te mettant à cheval sur lui (si j'ai tout compris), est mal choisi. J'ai eu affaire, dans un temps hyper lointain (je n'avais pas encore la bague au doigt) à des prostituées, rue St Denis, et bien je peux te dire que ce sont elles qui sont aux manettes, et qui font tout. Elles te font jouir le plus vite possible, pour faire le plus de clients possible, pardi.
      Après, il y a bien sûr, des prostituées qui ont des spécialités comme la soumission (dans les deux sens), et bien sûr elles sont soumises aux macs, mais autrement ce sont elles qui maîtrisent avec le client...A moins, qu'à cette époque, j'étais bien jeune et me suis laissé faire.
      Mais comme tu avais une amie prostituée, tu dois savoir comment ça se passe.
      Mes écrits transpirent donc la féminité. Comme je le dis souvent, la femme me fascine. Le mystère de ce qu'elle ressent me questionne tout le temps.(sentimentalement et physiquement)
      Si je reviens en femme, dans une seconde vie, je voudrais être lesbienne, comme Marianne et ses amantes. Peut-être que si je tombe sur toi et Véronique, je te draguerais si vous revenez sur la même apparence féminine. Tu as l'air d'avoir eu un beau succès, et je pense aussi craquer, pour une rousse aux yeux verts.
      J'espère que tu lui as fait goûter à tes carottes imprégnées de ton jus de femme. Tu es quand même, une sacrée coquine, toi .

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    3. Je ne pouvais pas faire payer un homme qui voulait me faire payer. Ce qui fut jouissif, en plus de l'harmonie orgastique, est de le voir se demander qui il était. La prise de pouvoir est dans le " tu ne vaux que cent francs ". Nous avons pris tout notre temps : l'étudiant n'avait jamais vendu son corps mais se vantait auprès de Véronique d'être capable de le faire. La belle aux yeux verts a servi d'entremetteuse. J'ai l'impression que mon ordinateur déraille un peu. J'ai écrit plusieurs messages sur Lilith qui ont sauté : j'ai esquissé un article sur mon blog.

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    4. Et la rousse aux yeux verts n'a pas initié ce pauvre étudiant. Elle aurait fait une belle première cliente, et même, aurait pu lui dire à combien placer la "barre" (non, Elisabeth, ce n'est pas ce que tu penses) du tarif plus haute.
      Oui, écoute, ça bégaie un peu, pas grave. Henri aussi, a publié aussi deux fois le même commentaire. C'est peut être le blog.
      Par contre, je vais aller voir le tien de ce pas.

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    5. L'étudiant était tout aussi compétent que moi. Nous avons conversé ensemble sur divers sujets d'ordre politique, d'ordre économique, de ce qui relève de la culture générale. Véronique n'aurait pas songé à écraser un homme en lui faisant comprendre qu'il ne valait cent francs. Il a très bien compris mon message d'économiste ( j'achevais ma thèse ), lui-même étant étudiant en sciences politiques. Imagine Véronique indexant le tarif sur la longueur et la largeur de " Monsieur". Je crois que l'étudiant avait fixé le tarif avant mon arrivée. L'idée d'indexer le prix sur le format ne m'est pas venue à l'esprit. Véronique aurait choisi un puceau pour lui permettre d'avoir son certificat de dépucelage. Elle parlait ainsi des hommes un peu inhibés.

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    6. J'adore ta réponse rigolote. Un tarif suivant les mensurations...et ben, on est pas sorti de l'auberge. Je vois la magnifique rousse aux yeux verts débarquer avec son mètre ruban. C'est un peu débandant, non ? Une bonne façon, remarque de payer moins cher.
      Et revoilà, le fameux certificat de dépucelage....
      J'ai aimé vos échanges à toi et Henri, plus haut, et cette position de la femme sur l'homme, traduisant une femme de feu, femme de pouvoir, femme flamboyante, et c'est vrai aussi ce que dit Henri, cette position amplifie l'orgasme.
      Je veux bien servir de canasson.

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  6. @ Henri.
    Moi, j'ai trouvé sympas les prostituées près de chez toi, dans les abris de bus. Mais, je ne crois pas qu'elles aurait fait une deuxième passe gratuitement. (je n'ai pas essayé ne serait-ce qu'une).
    Après les inviter chez soi....
    Pour les hommes, tout part des sentiments, pour pouvoir le faire. J'en ai jamais eu.

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    1. Formidable!, Le billet est ressuscité (dans ressuscité on entend "suce" et c'est également formidable!!) Un miracle comme le dit @Fil plus haut..., ou bien une apparition, comme on le dit d'une V-i-erge, Bref!
      J'aime beaucoup le long du Canal par temps de pluie cette délicieuse forêt de parapluies qui apparait à chaque averse dans les halos des réverbères..., on y voit alors une poésie urbaine et le défilé des corps légèrement vêtus et aguichants, derrière les vitres embrumés de son véhicule.
      Mais pour ma part, oui, au delà du défilé des images par effets hypnagogique ou/et Koulechov (comme je l'ai découvert par Marianne), je suis insensible à cette assignation de la femme en tant qu'objet, dont ce fait de la prostitution entre autres assignation du corps (et de l'âme). Oui il m'aurait semblé préférable d'inviter à tant que faire une de ces dames chez moi plutôt que de les suivre dans une chambre immonde et dégueulasse de ces hôtels morbides du quartiers (cf. affaire Allègre-Baudis). Je savais que chez moi, elles seraient accueillies comme il se doit..., en Femmes et en Reines, mais voilà, au regard de leur travail, c'est hors de mes possibilités d'être et d'agir...
      J'ai quand même assisté à des scènes d'anthologie..., parfois à la limite du meurtre, mais aussi à de purs moments de Joies et de rires!!! de charme en bref, par la Magie et les pouvoirs secrets de ces Fées du bitume,
      Mais pour en revenir aux joies anales, qu'importe le genre non, l'Anus et ses possibles nous sont simplement offerts par nos sexualités et nos corps, non...? Autant le vivre comme cela vient et comme nous le sentons, pourvu qu'il y ait ivresse et Volupté, et Amour,

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    2. Je vois que les filles du Canal te font bégayer, mon cher Henri.
      "par temps de pluie cette délicieuse forêt de parapluies qui apparait à chaque averse dans les halos des réverbères.", joliment dit.
      Nous nous éloignons du sujet, mais, c'est combien important d'en parler.
      Toutes ces choses cachées, la prostitution, la drogue, la corruption, etc...
      Une autre fois, dans un autre billet, peut-être.
      Le sujet est tellement vaste.
      Quoiqu'il en soit , je les respecte ces filles (je sais, toi aussi).
      Ivresse et Volupté en Amour, bien sûr, Henri. Pourvu ce qu'on recherche, nous fasse que du bien.

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  7. J'avoue, Gil, avoir un peu de mal avec cette classification des rôles en "hommes" et "femmes". Bien sûr ces rôles existent biologiquement (il y a des mâles et des femelles), mais ils n'ont pour moi aucun sens dans une relation amoureuse et sexuelle. Je ne me sens pas "homme" quand je pénètre une femme avec un gode ceinture, mais bien femme pénétrant une autre femme. Mon plaisir est d'être femme pénétrant une femme, et non "homme" pénétrant une femme. C'est vrai que, par rapport à la biologie, une lesbienne pourvue d'un gode ceinture prend une place masculine, mais nous sommes ici dans le registre du réel. L'amour et le plaisir sexuel se joue toujours dans l'imaginaire. En fait, je sais que je n'aurais pas de plaisir de pénétrer un homme, non parce que je prendrai sa place, mais parce que j'ai besoin de me sentir femme, avec mes seins et ma chatte, en pénétrant une autre femme. Ophélie pensait de manière similaire et mes compagnes du presbytère aussi. Mais il y a peut-être des lesbiennes qui pensent différemment. Les fantasmes des gens sont extrêmement variés... Il faut de tout pour faire un monde!

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    1. Bien sûr, Marianne et tes amies lesbiennes, je vous comprends très bien par votre divergence de point de vue.
      Mon texte, en plus, sur ce sujet, est exagéré, voire peut-être vulgaire. Je ne savais comment l'aborder.
      Je pense que le fait d'être lesbiennes, que vous rejetez entièrement l'apparence de l'homme.
      Pour ma part, je ne veux aucunement, être une femme, mais comme je le disais, c'est ma compagne (chacun(e) a sa façon de faire l'amour, d'avoir des préférences, qui me dit d'adorer mon côté féminin. Je m'explique : je mets beaucoup de douceur dans les préliminaires, pour faire grimper le désir. Ça ne veut pas dire que je n'ai pas de virilité par la suite.
      Mais pourquoi, les femmes auraient la douceur, et l'homme la virilité? Je n'aime pas non plus avoir des cases, comme ça.
      Je comprends très bien que tu (vous) êtes, uniquement, femme(s) et que tu (vous) fais(tes) l'amour à une femme.
      Merci, pour ton témoignage, Marianne.
      Comme, tu dis, il faut tout pour faire un monde. Et je peux te dire que j'aime votre façon de vivre, dans ce presbytère.
      Vous êtes des femmes fantastiques, fascinantes.

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    2. J'aime à lire cela, @ Marianne, "Le Plaisir se joue dans l'imaginaire"..., c'est tellement cela et tellement rare de voir et de vivre ce fait de transposer l'imaginaire dans le réel, plutôt que de simplement fantasmer... "vivre ses rêves plutôt que rêver sa vie". Agir et vivre, exister, plutôt que espérer, croire et attendre... et cette réflexion me vient là d'autant plus en te lisant ainsi, que dans ton dernier article "Ressort" figure une image-dessin (12) qui m'a énormément parlé à ce sujet car cette situation de transposition vécue de l'imaginaire transposé au réel a constitué pour moi et pour- avec une des Femmes-Êtres de ma vie, un moment de Pleine Réalisation de l'Amour et de la sexualité en dehors de toute possibilité de réduire à un genre masculin ou Féminin l'épanouissement du Plaisir et de la Vie, de L'amour humain porté à son paroxysme, à son aboutissement... et en cela, l'amour est véritablement un art, tout comme la sexualité... Et nos échanges, nos rencontres en cette expression de vie et d'amour nous en parlent et le chantent et c'est tant mieux, car on pourrait certainement se contenter très de parler couture, prêt-à-porter ou du temps qu'il fait, ou bien de la pandémie en cours...

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  8. L'expérience que révèle ce récit est très spéciale. Le sodomisme n'est pas une condition nécessaire pour être masculin. C'est un choix mutuel entre les partenaires. Chaque sexe a son côté opposé. Cela s'exprime également dans la sexualité. La pénétration anale, les fesses, est une partie très érotique des hommes, hommes et femmes. Dans le couple, nous avions une alternance de rôles. L'homme, j'en suis sûr, a joui d'un plaisir très fort qu'il n'aurait jamais imaginé avoir. Bonne nuit d' Athenes.

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    1. Oui, comme je le disais, et l'ai dit à plusieurs, ce récit est exagéré, dans la mesure qu'est c'est un blog à caractère érotique, voire plus.
      Je n'ai pas traité le côté sentimental du sujet.
      Moi, pour ma part, je sais que j'ai, en point de vue caractère, un côté féminin, tout en étant viril. Comme, par exemple, la douceur.
      Mais, pour l'instant, je n'ai pas vu un commentaire, ici même, de femme nous disant qu'elle a des côtés masculins.
      Je n'ai vu que des critiques sur la façon dont j'ai traité le sujet. Et c'est vrai, je l'ai mal fait. Il y a des chances.

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    2. Bien sûr, il y a des femmes avec des caractéristiques androïdes, qui s'expriment dans la sexualité. Ce n'est pas contesté. Et cela vaut aussi pour les hommes. Bon apres-midi.

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  9. Pardon Gil, mais je passais voir ta dernière version mais je ne sais pas si c'est celle-ci. Tu donnes un bel éloge de la femme, et la scène évolue, la femme redevant féminine, et l'homme restant lui-même. Au fond, c'est intéressant, les amants se retrouvent plus en harmonie en restant eux-mêmes. Je me retrouve bien dans la femme qui choisit, à nouveau, d'être femme! Tu as lancé un pari audacieux d'où il ressort ton amour des formes féminines. Je réfléchissais à ce que je ressentais en m'unissant avec le sable sans savoir s'il était homme ou femme, mais presque les deux à la fois, épousant mes formes, les creux et les pleins de mon corps et ce contact est orgastique! Le sable est-il un homme ou une femme : je t'explique l'origine de ma question saugrenue. Tu l'as deviné : c'est l'article du 9.04.22 de Marianne. Homme ou femme, le sable m'apporte une immense sécurité dans cette union orgastique... Je t'embrasse. A bientôt. Elisabeth.

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    1. C'est un réel plaisir de te revoir par là, Elisabeth.
      Oui, c'est la dernière version. Je suis rentré dans un sujet très difficile. Ce n'est pas parfait, je sais, c'est même raté.
      Mais, ça a pu faire un vrai débat avec mes lecteurs. C'est déjà ça.
      Oui, chacun à sa place, la femme reste femme, l'homme reste homme. Ce qui n'interdit pas à la femme de diriger les débats, comme toi,tu l'as fait, à cheval sur le corps d'un'homme allongé sur le dos. J'aime ça, ho que oui, gemssa, que la femme prenne des initiatives
      C'est beau ce que tu dis, avec ce moment amoureux passé avec le sable dont on ne sait le sexe. Un homme ? Une femme ? A ton esprit de décider dans ce cas là. Tu as peut-être eu un orgasme avec Monsieur Sable et Madame Sable, à se mouvoir avec ton corps.
      C'est tout simplement magnifique.
      Je t'embrasse aussi, et reviens me voir de temps en temps, ça me fait énormément plaisir.

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Ça plane pour moi.

C'est ton sourire qui m'a accueilli, en premier. Tu es assise en face de moi, jambes croisées, jupe bien relevée. Nous dégustons ens...